Le CAPC a obtenu une honorable 13ème place de la coupe nature 2019. C’est la 2ème année consécutive que le CAPC termine dans les 15 premiers clubs de la coupe. Il se maintient donc en coupe de France pour 2020. Les trois premiers clubs sont : Lattes photo 34, Photo-club de Limours et Phot-club Chevigny Saint Sauveur.
Cette année, le jugement avait lieu à Moulins-les-Metz dans la banlieue de Metz du 9 au 11 mars. J’ai représenté le club avec Annie Lê. L’organisation par le club Photo-Passion Moulins-les-Metz a été parfaite. Comme pour les autres coupes de France, le jugement a été fait par 4 juges. Le premier tour a commencé dès le vendredi soir. Les jugements se sont poursuivis toute la journée du samedi, et l’annonce des résultats a été faite en fin de matinée le dimanche 11 mars. Un véritable marathon !
Il y a eu de gros écarts de notes sur une même photo entre les 4 juges qui venaient d’horizons différents. L’un des juges (le juge N° 3 Frank Seguin) n’était pas photographe. Son activité principale est de sélectionner des images. Il a attribué des notes parfois très différentes des 3 autres juges. Lors du débat du dimanche matin, le commissaire Christian Roquet et le président Gilbert Coutelet s’en sont longuement expliqués.
Comme cela a déjà été écrit en 2018, les 2 critères principaux pris en compte par les juges sont l’esthétisme et l’originalité de la photo. La qualité technique étant une condition préalable pour dépasser la note de 10.
Aucune photo du CAPC n’est parmi les 50 premières de la coupe. La meilleure photo du club est « vol de jour » d’Annie Lê qui se classe 71 e des 900 photos de la coupe. Sept auteurs du CAPC avec 3 ou 4 photos chacun font un beau tir groupé et contribuent sensiblement à égalité au résultat du club : Jean-Lou Bony, Dominique Breuillet, Claude Chesnost, Gérard Delord, Stéphanie Foucher, Annie Lê et Jacques Nardo. Bravo aussi à René Bailly-Salins, Françoise Bichon-Lhermitte et Martine Robert qui complètent la sélection du CAPC avec chacun 1 ou 2 photos. Nous avons un seul petit regret, c’est de ne pas avoir un plus grand nombre d’auteurs. Nous comptons sur la prochaine saison pour l’augmenter.
Gérard Delord / Commissaire Nature